Pour tout le monde, le passage à l'heure d'été signifie une heure de sommeil en moins. Si ce dernier a été proposé pour la première fois en 1784 par Benjamin Franklin, c'est surtout depuis la première guerre mondiale qu'il a été introduit, notamment par les Allemands. Si à l'époque le changement d'heure avait été mis en place afin d'économiser de l'énergie, qu'en est-il aujourd'hui ?
Le changement à l'heure d'été et ses conséquences
Si certains continuent de soutenir le changement d'heure et ses "bienfaits", ce n'est pas le cas de tout le monde. Certaines études ont démontré qu'il était de nos jours inutile, voire même dangereux. Le docteur Raphaël Heinzer, codirecteur du centre d'investigation et de recherche sur le sommeil du centre hospitalier universitaire Vaudois, explique qu'une étude a montré que le nombre d'infarctus aigus du myocarde augmente de 5% dans la semaine qui suit le passage à l'heure d'été. Le docteur Stephen Perrig, responsable du laboratoire du sommeil des hôpitaux universitaires de Genève explique quant à lui que les adolescents ont une horloge interne naturellement décalée vers le soir. Ils sont donc fragilisés par le passage à l'heure d'été. Cela entraine donc, les jours suivant le changement, plus de somnolence en cours. Ils mettent d'ailleurs plus de temps à récupérer.
Tout le monde n'est pas logé à la même enseigne
Si en Europe, le changement d'heure est très codifié avec des dates prédéfinies depuis 2002, d'autres pays sont plus laxistes. C'est que le Kazakhstan a tout simplement supprimé le passage à l'heure d'été en évoquant les raisons de santé évoquées ci-dessus. De leur côté, les États-Unis ont eux aussi pris une décision concernant ce changement. En effet, ils passent à l'heure d'été trois semaines avant la France pour une raison bien différente : satisfaire les fabricants de barbecue et permettre aux Américains de récolter plus de bonbons le soir d'Halloween ! Parmi les pays qui ont abrogé le changement d'heure, citons la Russie, l'Arménie, la Tunisie ou l'Egypte.
Le changement d'heure pour plus d'économies ?
Pour ceux qui persistent avec l'argument de l'économie d'énergie, ainsi que sur la possibilité de plus d'activités le soir, encore une fois cela n'est plus vrai. C'est ce qu'indique la porte parole de l'office fédéral de l'énergie, Marianne Zünd : "c'est plutôt le contraire qui est vrai. Les gens assis aux terrasses des restaurants consomment plus d'électricité qu'une personne qui reste chez elle."
Cependant...
Si certains estiment que le changement à l'heure d'été n'a aucun impact sur les accidents de la route, une étude américaine montre une diminution de 0.7% des accidents mortels au cours du passage à l'heure d'été.
Alors pourquoi persister à changer d'heure ? La raison est simple. Si un pays décide de ne plus réaliser le changement à l'heure d'été, il serait en décalage une partie de l'année avec ses pays voisins ce qui lui coûterait extrêmement cher. Il faudrait donc qu'en Europe par exemple, tous les pays de l'Union Européenne acceptent de supprimer l'heure d'été.
Wiko devrait annoncer officiellement dès demain son nouveau smartphone tactile sous Android équipé d'un écran de 5 pouces, le Wiko Cink Five. Le MedPi accueillera le constructeur low-cost du 14 au 17 mai 2013.
Selon les informations provenant du forum de FrAndroid, Wiko annoncera le Wiko Cink Five le 14 mai 2013 pour une commercialisation dans la foulée à un tarif encore non communiqué. Mais selon les habitudes du constructeur, nous pouvons nous attendre à une tarif aux alentours des 200 euros.A l'intérieur, le Wiko Cink Five renferme un processeur 1 GHz quad-core Cortex A7 couplé à 1 Go de mémoire RAM. Pour ce qui est du stockage, le mobile devrait disposer de 8 Go de mémoire flash avec possibilité d'extension par microSD. Le terminal de 5 pouces proposera une résolution de 1280 x 720 pixels. Comme souvent avec le constructeur, le mobile devrait fonctionner avec deux cartes SIM, une bonne solution pour ceux qui possèdent deux lignes de téléphone. Au rayon photo, le smartphone proposera un capteur OmniBSI+ de 8 mégaPixels accompagné d'un flash LED. Pour l'autonomie, le Five proposera une batterie de 2000 mAh. Petite particularité, le smartphone proposera un port USB On The Go permettant la connexion d'un support de stockage externe facilitant les échanges de fichiers.
On l’attendait forcément, la suite de l’un des meilleurs jeux de plateformes de l’Appstore, League of Evil. Il s’agit certainement du jeu de plateformes le plus dur, et celui sur lequel on s’énerve le plus, mais c’est aussi pour ça qu’on l’aime, on va mourir des dizaines de fois par niveau et on va bêtement aimer ça. Dans ce deuxième épisode c’est évidement le même cas, cependant une question se pose ( comme pour chaque suite d’ailleurs ), les évolutions sont-elles satisfaisantes et la suite va-t-elle nous bluffer? Pour le savoir, direction la conclusion, c’est dans ce test que ça se passe. League of Evil est pour le moment disponible en version universelle à 0.79€, avant de changer dans peu de temps de prix, à 2.39€.
Il est de retour, et il est pas pareil.
On a tous remarqué l’affreuse disparition des petits pixels du premier épisode, et ici chacun aura son propre avis. Il faut bien avouer que le titre perd une partie de son charme, on était vraiment amoureux de ses petits pixels. Mais il faut également se rendre à l’évidence, League of Evil 2 est bien plus joli, au revoir les pixels et bonjour aux graphismes bien plus modernes. Au final le titre a perdu de son charme, mais a tout de même réussi à en dégager un nouveau, complètement différent. Notre personnage est également un peu plus musclé que le premier, et encore une fois, ici aussi on peut parler d’une perte d’un certain charme puis d’un autre retrouvé. On verra donc beaucoup d’avis différents sur ce point, et finalement c’est certainement votre propre idée qui comptera le plus.
Un personnage encore plus fort.
Mais au fil des niveaux, on va se rendre compte que les graphismes sont pratiquement la seule évolution du jeu. Quand on est en possession d’une suite, on rêve de retrouver les améliorations d’Edge Extended ou Draw Race 2, certainement les deux plus gros symboles des évolutions d’une suite. Mais ici on a presque l’impression de jouer au premier épisode, seulement plus joli, avec néanmoins quelques améliorations mineures. A commencer par une certaine fluidité gagner dans les mouvements de notre personnage, il répond mieux aux commandes et se déplace légèrement plus rapidement, si ce n’est pas très flagrant, c’est tout de même plus agréable à jouer. D’ailleurs on retrouve les mêmes commandes à savoir deux flèches d’un côté et un bouton pour sauter et tirer à l’opposé, c’est toujours aussi efficace.
Si le gameplay n’a pas bougé d’un pouce, c’est une bonne chose, en revanche on aurait aimé plus d’évolutions dans les niveaux eux-mêmes. On retrouve exactement les mêmes éléments de décors, les mêmes obstacles et les niveaux manquent d’une certaine originalité. Un ou deux nouveaux adversaires ne suffisent pas à combler nos attentes, nous on voulait de vraies nouveautés, de nouveaux obstacles super originaux et super amusants, et au lieu de ça on a juste ces machins qui tournent, des pics, des lasers et quelques adversaires. C’est une bonne chose, mais ça on l’avait déjà vu dans le premier épisode. D’ailleurs, on remarquera l’absence des fantômes dans ce deuxième épisode, ces derniers vous permettaient de voir vos anciennes courses et il faut avouer que c’était inutile, donc indispensable.
League of Evil c’est ma vie, parce que j’aime mourir.
Malgré ça, on adore le jeu, et encore, adorer est un mot trop faible. Les dix premiers niveaux sont simples et ne serviront qu’à se remettre dans le bain d’un jeu de plateformes à la difficulté flagrante. Les niveaux suivants sont horribles et vont vous casser la tête plus que jamais. Ce qui est fort, c’est que mauvais petits et gros joueurs trouveront leur compte, même si les petits pourraient rapidement s’énerver au fil des niveaux. Mais s’énerver sur un tel jeu c’est un véritable plaisir, c’est dire. Toujours avec ses deux objectifs, League of Evil va parfois nous donner envie de quitter le jeu, l’espace d’un quart de seconde. On se demande parfois pourquoi le jeu nous demande, après notre mort, si on veut rejouer le niveau. Et comment, on ne veut pas seulement le rejouer, on veut le réussir, et avec brio.
Si vous êtes en manque de challenges, il est clair que vous devez vous tournez vers League of Evil 2, c’est une nécessité. Si on commence souvent par trouver la petite valise souvent planqué derrière de gros obstacles, pour explorer le niveau tranquillement, il faudra ensuite rejouer le niveau à la vitesse de Sonic. Sacré chronomètre, celui là c’est un coriace. Alors que l’on voit s’écouler les secondes en haut de notre écran, il faut se dépêcher vers la fin du niveau pour exploser le scientifique, et la moindre erreur comme un saut raté pourrait nous coûtait très cher. Au final il faut souvent presque faire aucune erreur pour finir le niveau dans le temps imparti, une vraie bonne dose de challenge.
Des heures de fun avec un chronomètre qui défile.
Si dans un premier temps on est déçu du manque d’évolutions, il faut se rendre à l’évidence, on prend encore plus de plaisir à mourir que dans le premier League of Evil. Une centaine de niveaux répartie en cinq mondes, c’est que ce n’est presque pas suffisant tellement on va enchaîner les niveaux, mais pas d’inquiétude, comptez tout de même quelques heures, voire de nombreuses heures pour finir le jeu en attrapant toutes les valises et finir les niveaux dans le temps imparti. Car un niveau peut à lui seul nous tenir de très longues minutes si on s’acharne à battre ce fichu chronomètre.
On finit avec le trailer :
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Note globale
Si on ne retrouve qu’une évolution graphique et légère amélioration dans les commandes en comparaison avec le premier épisode, League of Evil 2 commence par nous décevoir, puis finit par nous rendre fou, et on adore. On tombe sous le charme à chaque fois que l’on va mourir et la dose de challenge offerte par le titre est exceptionnelle. Petits et gros joueurs devraient facilement trouver leur plaisir dans ce jeu vendu en offre de lancement à 0.79€.
L’avis d’Ethomit : LOE2 est un titre très réussi mais aussi très exigeant. Il rappellera notamment Super Meat Boy par sa difficulté très élevée et la nécessité d’enchainer en temps réduit des sauts millimétrés. Les amateurs de challenge très corsé seront ravis, d’autant plus que les contrôles répondent vraiment au doigt et l’oeil. Les autres baisseront probablement les bras au bout de quelques parties, mais finiront probablement par y revenir, question de fierté