Asus est sûr du potentiel de son Padfone, le smartphone qui se transforme en tablette, qui se transforme en portable. Du coup, il y aura un Padfone 2.
Le Padfone, c'est ce smartphone Asus d'un nouveau genre, capable de venir se glisser dans une tablette pour servir de coeur de calcul à ce terminal doté d'un écran plus grand, tout en profitant d'une batterie de plus grosse capacité. Tablette qui, elle-même, peut être transformée en "netbook" une fois associée à un dock clavier, permettant là encore de gagner en autonomie.
Et pour pouvoir continuer à profiter de la fonction téléphone même avec son Padfone inséré dans sa tablette, le stylet fourni avec l'ensemble fait office de combiné sans-fil. Le concept est séduisant, puisqu'il permet de centraliser toutes ses infos et données dans son seul téléphone, tout en se voyant proposer une solution complète qui offre une très bonne autonomie.
Un Asus Padfone 2 le 16 octobre
Problème, le Padfone et tous ses accessoires ne sont pas donnés, puisqu'il faut investir près de 800€ pour s'offrir le smartphone, le réceptacle tablette et le dock clavier. Un petit budget ! Malgré tout, Asus est conscient d'avoir avec le Padphone un concept original à creuser. Et il est donc intéressant d'apprendre que le fabricant va récidiver avec ce concept hybride, même si les ventes du premier modèle ne sont pas forcément au rendez-vous. C'est donc le 16 octobre que nous pourrons découvrir ce Padfone 2.
Deux axes de travail pour Asus, réussir à concevoir un terminal plus puissant, mais aussi moins cher. Si l'on ne doute pas qu'Asus réussira à revoir à la hausse les caractéristiques techniques de son Padfone avec ce second modèle, la technologie ayant évolué depuis la sortie du Padfone, le second point sera à n'en pas douter capital pour la réussite de ce concept au final. Car aujourd'hui, la concurrence est telle que même les concepts originaux se doivent d'être attractifs d'un point de vue tarifaire pour convaincre.
Panasonic, un des leaders de la photo grand public vient d'annoncer la sortie imminente de deux nouveaux produits. Le constructeur dévoile notamment un compact entrée de gamme, le Lumix XS3 en plus d'un nouveau bridge à zoom de très grande amplitude, le Lumix FZ72.
Panasonic Lumix XS3
Le nouveau compact Panasonic Lumix XS3 est un appareil photo numérique particulièrement simple. Il offre un design plutôt séduisant avec des dimensions très contenues. Il profite de la technologie Panasonic particulièrement reconnue sur le marché des compacts. Le XS3 de Panasonic dispose d'un capteur MOS de haute sensibilité et de résolution 14,1 millions de pixels. Ce dernier offre une plage de sensibilité allant de 100 à 3200 ISO. Il propose un zoom optique 5x ainsi qu'un grand angle 24 mm. A l'arrière, le compact numérique est équipé d'un écran TFT LCD de 2,7 pouces capable d'afficher une résolution de 230 000 points.
Cet appareil photo se destine aux utilisateurs qui ne veulent pas s'embêter avec un appareil photo très performant et qui veulent quelque chose qui tient parfaitement dans la poche. L'appareil photo dispose bien entendu de nombreux modes automatiques ainsi que différents modes créatifs afin de créer des images originales. Il sera disponible au mois de septembre prochain aux alentours de 129 euros.
Panasonic Lumix FZ72
La gamme FZ de Panasonic fonctionne toujours en France alors que différentes baisses sont constatées à travers le monde. Le constructeur l'a bien compris et annonce un nouveau bridge disposant d'un zoom 60x avec grand angle 20 mm. Grâce à son optique inédite, l'appareil photo sera particulièrement à son aise dans la nature. A l'intérieur, l'appareil cache un capteur MOS Haute Sensibilité de 16,1 millions de pixels qui affiche une plage de sensibilité large. Pour éviter les problèmes de photos floues, le constructeur a intégré son système de stabilisation Power O.I.S avec Active Mode, sans cesse amélioré de génération en génération. A l'arrière, le constructeur équipe son Panasonic Lumix FZ72 d'un écran de 3 pouces et 460 000 points, traité contre les reflets. Il est lui-même accompagné d'un viseur électronique.
Pour terminer, Panasonic met également l'accent sur la vidéo puisqu'il est capable d'enregistrer des séquences en Full HD 1080p à 50 images par seconde. Ce bridge à zoom 60x stabilisé sera disponible à la fin de l'été pour un prix maximum conseillé de 399 euros.
On les a découverts sur grand écran alors qu'ils n'étaient encore que des enfants et ils nous avaient ébloui par leur talent. Mais que sont-ils devenus aujourd'hui ?
Antoine du Merle - Les trois frères (1995)
On se souvient tous d'Antoine du Merle en tant que petit Mickaël dans Les Trois frères, rôle qu'il a de nouveau incarné 19 ans plus tard dans la suite du film. Aujourd'hui âgé de 25 ans, il a continué sa carrière dans le cinéma après ce film phare, dans des films à succès comme Ponette mais principalement dans des téléfilms et des séries télévisées tel que Maigret, Une famille formidable ou encore Commissaire Cordier.
Macaulay Culkin - Maman, j'ai raté l'avion (1990)
Culkin s'inscrit comme l'un des enfants stars les plus emblématiques. Il a connu un succès extrêmement important à Hollywood puis dans le monde entier grâce au film Maman j'ai raté l'avion (1 et 2). Son amitié avec Mickael Jackson a également participé à sa popularité. Mais il est également très connu pour sa déchéance arrivé à l'âge adulte : drogue, alcool, sexe ou encore des déboires amoureuses. Mis à part quelques apparitions dans des productions comme la comédie Saved! ou quelques épisodes de la série Kings, l'acteur fait surtout parler de lui pour ses frasques. A aujourd'hui 33 ans, il semblerait qu'il se soit tout de même calmer oscillant entre des fonctions de chanteur et peintre.
Jake Lloyd - Star Wars, La Menace fantôme (1999)
Jake Lloyd restera toujours pour nous le petit Anakin qui quitte sa position d'esclave pour devenir Jedi dans l'épisode I de Star Wars, La menace fantôme. En même temps, concernant sa carrière d'acteur, elle s'est pratiquement arrêtée à ce rôle là. Mise à part un petit rôle dans le film Maddison en 2005, il s'est arrêté là notamment car il a eu beaucoup de difficultés à gérer la médiatisation à l'époque. Aujourd'hui âgé de 24 ans, il est repassé totalement dans l'anonymat de son propre chef.
Haley Joel Osment - Sixième sens (1999)
C'est l'enfant des années 2000, avec un début de carrière digne des plus grands pour son rôle dans Sixième sens avec Bruce Willis. Par la suite, il a continué à jouer étant enfant dans d'autres films de référence comme Un Monde meilleur ou I.A. Intelligence Artificielle. Osment est également apparu à l'écran un peu plus jeune en tant que Forrest Gump dans le film du même nom. Avec l'âge, il a cependant progressivement quitté les écrans de cinéma et il est également tombé dans les dérives habituelles (possession de drogue, conduite en état d'ivresse…). Depuis, il semble être repassé dans l'anonymat.
Sean Astin - Les Goonies (1985)
Sean Astin a incarné des rôles marquants. Le début de sa célébrité date de son rôle de héros, Mickey, dans le film Les Goonies en 1985. Cependant, il devra attendre 1999 pour incarner de nouveau un bon rôle, mais pas des moindres puisqu'il a joué Sam Gamgi, fidèle compagnon de Frodon, dans la trilogie du Seigneur des anneaux. Il est aujourd'hui âgé de 41 ans et est père de famille.
Corey Feldman - Les Goonies (1985)
Connu sous le nom de Bagou pour son rôle dans les Goonies également, Corey Feldman avait déjà tourné dans Vendredi 13 et les Gremlins avant ce succès. C'est par la suite que les choses se sont tassées puisqu'il a plus ou moins enchainé les téléfilms et les séries B, mais rien de bien intéressant. Il a tout de même prêté sa voix à Donatello dans les tortues ninjas. Rien de très innovant, Feldman a lui aussi connu quelques problèmes de drogue. Il a par la suite participer à une téléréalité et écrit un livre en 2011 où il dénonce un réseau pédophile à Hollywood.
Jeff Cohen - Les Goonies (1985)
Toujours dans la bande des Goonies, Jeff Cohen incarnait ce jeune garçon un peu enrobé que tous ses amis surnomment Choco. Sa carrière d'acteur s'est arrêté après le film, et il a décidé de se concentrer sur le sport et les études notamment en raison des nombreuses moqueries qu'il a subi à cette époque. Il est aujourd'hui à la tête d'un cabinet d'avocat spécialisé dans le droit du divertissement
Jonathan Ke Quan - Les Goonies (1985)
Pour finir dans la bande des Goonies, vous souvenez-vous de Data ? Jonathan ke Quan a également joué Demi-lune dans Indiana Jones et le Temple Maudit. Après ces deux rôles phares des films de notre jeunesse, il a également joué dans Les Contes de la Crypte mais sa carrière d'acteur s'est pratiquement arrêtée là. Il n'a pas pour autant quitter l'univers du cinéma puisqu'il est aujourd'hui chorégraphe de combats, notamment dans Matrix et X-men.
Jean-Baptiste Maunier - Les Choristes (2004)
Le chanteur du film Les Choristes a connu un important succès grâce au film et notamment par sa voix exceptionnelle. Il a par la suite eu quelques rôles, comme dans Hellphone, L'Auberge Rouge ou encore Le grand Meaulnes, mais il fait plutôt parler de lui aujourd'hui pour sa participation aux Enfoirés chaque année.
Danny Lloyd - Shining (1980)
Danny Lloyd s'est fait connaître pour son rôle à l'âge de 6 ans, en tant que Danny, dans le très célèbre film d'horreur Shinning. Il avait été recruté par Stanley Kubrick pour ses capacités de concentration très importantes pour son âge. Contrairement à Linda Blair dans l'exorciste, Dany a eu la chance d'être préservé de l'horreur du film durant tout le tournage. Lloyd n'a pas été intéressé par la suite par le cinéma et s'est plutôt dirigé vers les études, pour devenir professeur de biologie puis scientifique.
Henry Thomas - E. T. l'extra-terrestre (1982)
Lorsque l'on s'attarde sur les enfants acteurs de E. T. l'extra-terrestre, on pense le plus souvent à Drew Barrymore et on oublie souvent de parler d'Henry Thomas, qui incarnait pourtant le héros du film, Elliot âgé de 10 ans. Avec l'âge, il a continué sa profession d'acteur. On a notamment pu le voir dans Valmont (1989), De si jolis chevaux (2000) ou encore Gangs of New York (2003).
Linda Blair - L'exorciste (1973)
Peut être que ce nom ne vous dit, mais vous l'avez sûrement déjà vu. En effet, elle incarnait la petite fille du film l'Exorciste qui connu un important succès dans le monde entier et a surtout effrayé de très nombreuses personnes. Malheureusement pour elle, son excellente présentation dans le film aura cependant brisé sa vie. En effet, elle a reçu de très nombreuses menaces de mort à la suite du film et des accusations d'avoir réellement été possédée puis exorcisée. De plus, elle a été par la suite cantonné à des rôles dans des films d'horreur de seconde zone. S'en sont suivi des déboires sentimentaux et quelques problèmes avec la drogue. Elle est aujourd'hui âge de 55 ans.
Taylor Momsen - Le Grinch (2000)
La petite fille du Grinch a aujourd'hui bien grandi. Après s'être fait remarquée dans la fille du tueur de Noël, elle a continué dans le cinéma, principalement dans des films pour enfants, mais surtout en 2007 dans son rôle de Jenny Humphrey dans Gossip Girl. Depuis 2009, elle délaisse sa carrière d'actrice pour se consacrer à la musique avec son groupe The pretty Reckless.
Ludwig Briand - Un indien dans la ville (1994)
Si je vous dis Mimi-siku, ça vous parle plus ? Effectivement, il s'agit du héros d'un Indien dans la ville, grand succès à l'époque. Par la suite, il a joué un peu dans des feuilletons comme La Caverne de la rose d'or, mais s'est assez vite éloigné du cinéma et du showbiz qu'il n'appréciait pas beaucoup. Ensuite, il a varié les fonctions : il a étudié le droit, il a été commercial dans l'immobilier, puis expert en cigare dans les aéroports à Paris, mais également champion de poker.
Freddie Highmore - Charlie et la chocolaterie (2005)
C'est THE enfant star des années 2000. Repéré par Jonnhy Depp, son premier rôle important sera celui de Charlie dans le film de Tim Burton Charlie et la chocolaterie. Puis il enchaînera les films à succès comme Neverland, Une grande année ainsi que Arthur et les Minimoys. Aujourd'hui, il continue sa carrière d'acteur et on peut notamment le retrouver dans la série Bates Motel, en Bates jeune.
Edward Furlong - Terminator 2 : le Jugement Dernier
Edwarg Furlong s'est tout d'abord illustré pour son rôle de John Connor dans Terminator 2 : le Jugement Dernier, puis il a enchaîné les rôles importants dans des films à succès comme Little Odessa. Par la suite, il séduira aussi le public par son interprétation très sombre dans American History X aux côtés d'Edward Norton. Mais comme bien des enfants star, il connait les sempiternels problèmes de drogue, de violence et d'alcool. L'année dernière, il est même passé devant la Cour Suprême pour violences conjugales. Il continue aujourd'hui encore à être acteur, notamment dans la série Les Experts Manhattan.
Judith Vittet - La cité des enfants perdus (1995)
Pour finir, c'est l'héroïne de La cité des enfants perdus qui est à l'honneur. Repérée à la sortie de l'école à l'âge de seulement 9 ans, sa carrière d'actrice a cependant été de courte durée. Elle a joué dans Nelly et Monsieur Arnaud puis a décidé de se consacrer à ses études de cinéma. Elle est aujourd'hui artiste conceptrice et a même créé sa propre marque de design pour enfants, Judethik.
Panasonic, un des leaders de la photo grand public vient d'annoncer la sortie imminente de deux nouveaux produits. Le constructeur dévoile notamment un compact entrée de gamme, le Lumix XS3 en plus d'un nouveau bridge à zoom de très grande amplitude, le Lumix FZ72.
Panasonic Lumix XS3
Le nouveau compact Panasonic Lumix XS3 est un appareil photo numérique particulièrement simple. Il offre un design plutôt séduisant avec des dimensions très contenues. Il profite de la technologie Panasonic particulièrement reconnue sur le marché des compacts. Le XS3 de Panasonic dispose d'un capteur MOS de haute sensibilité et de résolution 14,1 millions de pixels. Ce dernier offre une plage de sensibilité allant de 100 à 3200 ISO. Il propose un zoom optique 5x ainsi qu'un grand angle 24 mm. A l'arrière, le compact numérique est équipé d'un écran TFT LCD de 2,7 pouces capable d'afficher une résolution de 230 000 points.
Cet appareil photo se destine aux utilisateurs qui ne veulent pas s'embêter avec un appareil photo très performant et qui veulent quelque chose qui tient parfaitement dans la poche. L'appareil photo dispose bien entendu de nombreux modes automatiques ainsi que différents modes créatifs afin de créer des images originales. Il sera disponible au mois de septembre prochain aux alentours de 129 euros.
Panasonic Lumix FZ72
La gamme FZ de Panasonic fonctionne toujours en France alors que différentes baisses sont constatées à travers le monde. Le constructeur l'a bien compris et annonce un nouveau bridge disposant d'un zoom 60x avec grand angle 20 mm. Grâce à son optique inédite, l'appareil photo sera particulièrement à son aise dans la nature. A l'intérieur, l'appareil cache un capteur MOS Haute Sensibilité de 16,1 millions de pixels qui affiche une plage de sensibilité large. Pour éviter les problèmes de photos floues, le constructeur a intégré son système de stabilisation Power O.I.S avec Active Mode, sans cesse amélioré de génération en génération. A l'arrière, le constructeur équipe son Panasonic Lumix FZ72 d'un écran de 3 pouces et 460 000 points, traité contre les reflets. Il est lui-même accompagné d'un viseur électronique.
Pour terminer, Panasonic met également l'accent sur la vidéo puisqu'il est capable d'enregistrer des séquences en Full HD 1080p à 50 images par seconde. Ce bridge à zoom 60x stabilisé sera disponible à la fin de l'été pour un prix maximum conseillé de 399 euros.
Pour tout le monde, le passage à l'heure d'été signifie une heure de sommeil en moins. Si ce dernier a été proposé pour la première fois en 1784 par Benjamin Franklin, c'est surtout depuis la première guerre mondiale qu'il a été introduit, notamment par les Allemands. Si à l'époque le changement d'heure avait été mis en place afin d'économiser de l'énergie, qu'en est-il aujourd'hui ?
Le changement à l'heure d'été et ses conséquences
Si certains continuent de soutenir le changement d'heure et ses "bienfaits", ce n'est pas le cas de tout le monde. Certaines études ont démontré qu'il était de nos jours inutile, voire même dangereux. Le docteur Raphaël Heinzer, codirecteur du centre d'investigation et de recherche sur le sommeil du centre hospitalier universitaire Vaudois, explique qu'une étude a montré que le nombre d'infarctus aigus du myocarde augmente de 5% dans la semaine qui suit le passage à l'heure d'été. Le docteur Stephen Perrig, responsable du laboratoire du sommeil des hôpitaux universitaires de Genève explique quant à lui que les adolescents ont une horloge interne naturellement décalée vers le soir. Ils sont donc fragilisés par le passage à l'heure d'été. Cela entraine donc, les jours suivant le changement, plus de somnolence en cours. Ils mettent d'ailleurs plus de temps à récupérer.
Tout le monde n'est pas logé à la même enseigne
Si en Europe, le changement d'heure est très codifié avec des dates prédéfinies depuis 2002, d'autres pays sont plus laxistes. C'est que le Kazakhstan a tout simplement supprimé le passage à l'heure d'été en évoquant les raisons de santé évoquées ci-dessus. De leur côté, les États-Unis ont eux aussi pris une décision concernant ce changement. En effet, ils passent à l'heure d'été trois semaines avant la France pour une raison bien différente : satisfaire les fabricants de barbecue et permettre aux Américains de récolter plus de bonbons le soir d'Halloween ! Parmi les pays qui ont abrogé le changement d'heure, citons la Russie, l'Arménie, la Tunisie ou l'Egypte.
Le changement d'heure pour plus d'économies ?
Pour ceux qui persistent avec l'argument de l'économie d'énergie, ainsi que sur la possibilité de plus d'activités le soir, encore une fois cela n'est plus vrai. C'est ce qu'indique la porte parole de l'office fédéral de l'énergie, Marianne Zünd : "c'est plutôt le contraire qui est vrai. Les gens assis aux terrasses des restaurants consomment plus d'électricité qu'une personne qui reste chez elle."
Cependant...
Si certains estiment que le changement à l'heure d'été n'a aucun impact sur les accidents de la route, une étude américaine montre une diminution de 0.7% des accidents mortels au cours du passage à l'heure d'été.
Alors pourquoi persister à changer d'heure ? La raison est simple. Si un pays décide de ne plus réaliser le changement à l'heure d'été, il serait en décalage une partie de l'année avec ses pays voisins ce qui lui coûterait extrêmement cher. Il faudrait donc qu'en Europe par exemple, tous les pays de l'Union Européenne acceptent de supprimer l'heure d'été.
Wiko devrait annoncer officiellement dès demain son nouveau smartphone tactile sous Android équipé d'un écran de 5 pouces, le Wiko Cink Five. Le MedPi accueillera le constructeur low-cost du 14 au 17 mai 2013.
Selon les informations provenant du forum de FrAndroid, Wiko annoncera le Wiko Cink Five le 14 mai 2013 pour une commercialisation dans la foulée à un tarif encore non communiqué. Mais selon les habitudes du constructeur, nous pouvons nous attendre à une tarif aux alentours des 200 euros.A l'intérieur, le Wiko Cink Five renferme un processeur 1 GHz quad-core Cortex A7 couplé à 1 Go de mémoire RAM. Pour ce qui est du stockage, le mobile devrait disposer de 8 Go de mémoire flash avec possibilité d'extension par microSD. Le terminal de 5 pouces proposera une résolution de 1280 x 720 pixels. Comme souvent avec le constructeur, le mobile devrait fonctionner avec deux cartes SIM, une bonne solution pour ceux qui possèdent deux lignes de téléphone. Au rayon photo, le smartphone proposera un capteur OmniBSI+ de 8 mégaPixels accompagné d'un flash LED. Pour l'autonomie, le Five proposera une batterie de 2000 mAh. Petite particularité, le smartphone proposera un port USB On The Go permettant la connexion d'un support de stockage externe facilitant les échanges de fichiers.
On l’attendait forcément, la suite de l’un des meilleurs jeux de plateformes de l’Appstore, League of Evil. Il s’agit certainement du jeu de plateformes le plus dur, et celui sur lequel on s’énerve le plus, mais c’est aussi pour ça qu’on l’aime, on va mourir des dizaines de fois par niveau et on va bêtement aimer ça. Dans ce deuxième épisode c’est évidement le même cas, cependant une question se pose ( comme pour chaque suite d’ailleurs ), les évolutions sont-elles satisfaisantes et la suite va-t-elle nous bluffer? Pour le savoir, direction la conclusion, c’est dans ce test que ça se passe. League of Evil est pour le moment disponible en version universelle à 0.79€, avant de changer dans peu de temps de prix, à 2.39€.
Il est de retour, et il est pas pareil.
On a tous remarqué l’affreuse disparition des petits pixels du premier épisode, et ici chacun aura son propre avis. Il faut bien avouer que le titre perd une partie de son charme, on était vraiment amoureux de ses petits pixels. Mais il faut également se rendre à l’évidence, League of Evil 2 est bien plus joli, au revoir les pixels et bonjour aux graphismes bien plus modernes. Au final le titre a perdu de son charme, mais a tout de même réussi à en dégager un nouveau, complètement différent. Notre personnage est également un peu plus musclé que le premier, et encore une fois, ici aussi on peut parler d’une perte d’un certain charme puis d’un autre retrouvé. On verra donc beaucoup d’avis différents sur ce point, et finalement c’est certainement votre propre idée qui comptera le plus.
Un personnage encore plus fort.
Mais au fil des niveaux, on va se rendre compte que les graphismes sont pratiquement la seule évolution du jeu. Quand on est en possession d’une suite, on rêve de retrouver les améliorations d’Edge Extended ou Draw Race 2, certainement les deux plus gros symboles des évolutions d’une suite. Mais ici on a presque l’impression de jouer au premier épisode, seulement plus joli, avec néanmoins quelques améliorations mineures. A commencer par une certaine fluidité gagner dans les mouvements de notre personnage, il répond mieux aux commandes et se déplace légèrement plus rapidement, si ce n’est pas très flagrant, c’est tout de même plus agréable à jouer. D’ailleurs on retrouve les mêmes commandes à savoir deux flèches d’un côté et un bouton pour sauter et tirer à l’opposé, c’est toujours aussi efficace.
Si le gameplay n’a pas bougé d’un pouce, c’est une bonne chose, en revanche on aurait aimé plus d’évolutions dans les niveaux eux-mêmes. On retrouve exactement les mêmes éléments de décors, les mêmes obstacles et les niveaux manquent d’une certaine originalité. Un ou deux nouveaux adversaires ne suffisent pas à combler nos attentes, nous on voulait de vraies nouveautés, de nouveaux obstacles super originaux et super amusants, et au lieu de ça on a juste ces machins qui tournent, des pics, des lasers et quelques adversaires. C’est une bonne chose, mais ça on l’avait déjà vu dans le premier épisode. D’ailleurs, on remarquera l’absence des fantômes dans ce deuxième épisode, ces derniers vous permettaient de voir vos anciennes courses et il faut avouer que c’était inutile, donc indispensable.
League of Evil c’est ma vie, parce que j’aime mourir.
Malgré ça, on adore le jeu, et encore, adorer est un mot trop faible. Les dix premiers niveaux sont simples et ne serviront qu’à se remettre dans le bain d’un jeu de plateformes à la difficulté flagrante. Les niveaux suivants sont horribles et vont vous casser la tête plus que jamais. Ce qui est fort, c’est que mauvais petits et gros joueurs trouveront leur compte, même si les petits pourraient rapidement s’énerver au fil des niveaux. Mais s’énerver sur un tel jeu c’est un véritable plaisir, c’est dire. Toujours avec ses deux objectifs, League of Evil va parfois nous donner envie de quitter le jeu, l’espace d’un quart de seconde. On se demande parfois pourquoi le jeu nous demande, après notre mort, si on veut rejouer le niveau. Et comment, on ne veut pas seulement le rejouer, on veut le réussir, et avec brio.
Si vous êtes en manque de challenges, il est clair que vous devez vous tournez vers League of Evil 2, c’est une nécessité. Si on commence souvent par trouver la petite valise souvent planqué derrière de gros obstacles, pour explorer le niveau tranquillement, il faudra ensuite rejouer le niveau à la vitesse de Sonic. Sacré chronomètre, celui là c’est un coriace. Alors que l’on voit s’écouler les secondes en haut de notre écran, il faut se dépêcher vers la fin du niveau pour exploser le scientifique, et la moindre erreur comme un saut raté pourrait nous coûtait très cher. Au final il faut souvent presque faire aucune erreur pour finir le niveau dans le temps imparti, une vraie bonne dose de challenge.
Des heures de fun avec un chronomètre qui défile.
Si dans un premier temps on est déçu du manque d’évolutions, il faut se rendre à l’évidence, on prend encore plus de plaisir à mourir que dans le premier League of Evil. Une centaine de niveaux répartie en cinq mondes, c’est que ce n’est presque pas suffisant tellement on va enchaîner les niveaux, mais pas d’inquiétude, comptez tout de même quelques heures, voire de nombreuses heures pour finir le jeu en attrapant toutes les valises et finir les niveaux dans le temps imparti. Car un niveau peut à lui seul nous tenir de très longues minutes si on s’acharne à battre ce fichu chronomètre.
On finit avec le trailer :
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Note globale
Si on ne retrouve qu’une évolution graphique et légère amélioration dans les commandes en comparaison avec le premier épisode, League of Evil 2 commence par nous décevoir, puis finit par nous rendre fou, et on adore. On tombe sous le charme à chaque fois que l’on va mourir et la dose de challenge offerte par le titre est exceptionnelle. Petits et gros joueurs devraient facilement trouver leur plaisir dans ce jeu vendu en offre de lancement à 0.79€.
L’avis d’Ethomit : LOE2 est un titre très réussi mais aussi très exigeant. Il rappellera notamment Super Meat Boy par sa difficulté très élevée et la nécessité d’enchainer en temps réduit des sauts millimétrés. Les amateurs de challenge très corsé seront ravis, d’autant plus que les contrôles répondent vraiment au doigt et l’oeil. Les autres baisseront probablement les bras au bout de quelques parties, mais finiront probablement par y revenir, question de fierté