vendredi 27 décembre 2013

IBM et HEC Paris ouvrent une formation big data

Crédit: D.R

Crédit: D.R

HEC Paris lance avec l'appui d'IBM une formation sur le big data destiné aux étudiants du MBA qui sera opérationnelle à partir d'octobre.

Le big data est une matière qui monte dans les grandes écoles d'ingénieurs et de commerce. Après l'Ensimag et l'Emsi de Grenoble, c'est au tour de HEC Paris  d'ouvrir un cursus dédié à ce domaine. L'établissement s'est associé à IBM pour mettre sur pied un MBA à partir de la rentrée 2013 qui formera à l'analyse et à la gestion des données. L'objectif vise à combiner la formation généraliste de dirigeant d'entreprise typique des MBA avec une compétence plus pointue en matière d'analyse et d'interprétation des données.

Les étudiants qui le suivront développeront leur capacité à s'attaquer à différentes  problématiques comme la compréhension et la prévision des tendances d'achat des consommateurs, ou la  collecte et l'analyse des données sur la concurrence. On leur apprendra également à aider les responsables des marques à mesurer l'impact de leurs campagnes marketing et à analyser les  perceptions des consommateurs vis-à-vis des marques et des produits.

Des cursus pour tous les secteurs

HEC Paris envisage de développer ce cursus sur les prochaines années en créant une série de cours dans les domaines suivants : modèles de simulation de stratégie, extraction de données, analytique stratégique, prédiction, outils d'analyse des médias sociaux et visualisation des données.

En nouant ce partenariat, l'école de commerce francilienne s'inscrit dans le cadre de l'IBM Academic Initiative un programme qui  fournit aux enseignants du matériel de formation, des guides pédagogiques, des logiciels et des matériels destinés à former des compétences technologiques et managériales.  IBM collabore avec plus de 1000 partenaires académiques pour développer des cursus qui préparent les étudiants à des carrières professionnelles liées au big data et à l'analytique dans tous les secteurs. Le fournisseur est très engagé dans le traitement des big data. Son cloud public SmartCloud utilise la version 10.5 de la base de données DB2 qui offre des fonctions d'analyse en temps réel. Celle-ci intègre un ensemble de technologies regroupées sous la dénomination de BLU Acceleration, qui permettent d'accélérer sensiblement l'analyse des données.

mercredi 25 décembre 2013

MacBook Air Haswell plus véloce surtout pour l'affichage et le transfert de données

MacBook Air Haswell : plus véloce surtout pour l'affichage et le transfert de données

En début de semaine, Apple a annoncé l'évolution de son MacBook Air. Le portable d'Apple intègre la quatrième génération de processeurs Core d'Intel, nom de code Haswell.

Testé par nos confrère du Macworld Lab du groupe IDG - auquel nous sommes affiliés - le MacBook Air affiche des résultats très intéressants, c'est le moins qu'on puisse dire. Déjà, les anciens modèles 13 pouces sortis en 2012 et 2013 avaient obtenu au banc de test Speedmark 8 des notes globales équivalentes en terme de performance système, mais les résultats par machine dressent un profil différent.

Le MacBook Air est proposé en quatre versions standard, qui partagent toutes plusieurs composants internes. Chaque modèle est équipé d'un processeur dual-core Core i5 de quatrième génération cadencé à 1,3 GHz et capable d'atteindre des vitesses de 2,6 GHz en mode Turbo Boost. Les documents marketing ne le mentionnent pas, mais la technologie Hyper-Threading est supportée par les processeurs Core i5, ce qui permet aux applications multi-thread de travailler avec quatre coeurs de traitement (deux physiques et deux autres virtuels) sur ces systèmes dual core. Tous les modèles de MacBook Air sont livrés en standard avec 4 Go de mémoire LPDDR 1600MHz et sont équipés des‡ puces graphiques intégrées HD Graphics 5000 d'Intel.

Des performances CPU presque identiques 

Comme on pouvait s'y attendre, les performances des nouveaux MacBook Air 11 et 13 pouces sont pratiquement identiques. Un seul test du Speedmark montre une différence entre les deux modèles. Les résultats des comparatifs entre les anciens et les nouveaux modèles sont également très proches. Globalement, le nouveau MacBook Air 11 pouces est 9 % plus rapide que le modèle Core i5 Ivy Bridge cadencé à 1.7 GHz sorti l'année dernière. Les tests sur les applications affichent aussi de nombreux résultats très proches, sept tests (sur Photoshop et Aperture notamment) affichant moins de 3 % d'écart.

Les principales différences se manifestent dans l'affichage graphique et le stockage. Dans la nouvelle version, le processeur Intel HD Graphics 5000 gagne 24 % dans le test Open GL de Cinebench lequel mesure le nombre d'images par seconde et monte de 8 % en nombre de trames dans Portal 2. Le stockage flash est nettement plus rapide dans le nouveau MacBook Air, lequel est parvenu à transférer 6 Go de fichiers et de dossiers en moitié moins de temps que le MacBook Air précédent (51 % plus rapide). Au test Disk Speed de Black Magic, le nouveau modèle 11 pouces affiche 667,7 Mbits/s, contre 141,1 Mbits/s pour le MacBook Air 2012 intégrant un stockage flash de 64 Go. En vitesse d'écriture, le dernier modèle 11 pouces affiche 726,8 Mbits/s, contre 393,7 Mbits/s pour la version 2012.

Des améliorations en affichage 3D 

En ce qui concerne les modèles 13 pouces, le dernier MacBook Air Haswell Core i5 cadencé à 1.3GHz et le MacBook Air Ivy Bridge cadencé à 1.8 GHz sorti l'année dernière ont obtenu des scores globaux identiques au Speedmark, mais ces résultats masquent les différences obtenues dans les tests individuels de machine à machine. Dans 8 tests sur 15, l'ancien modèle s'st montré plus rapide, y compris pour l'export iMovie, 34 % plus rapide avec l'ancien 13 pouces. Le nouveau modèle s'est montré plus rapide dans 7 tests sur 15, dont une amélioration de 30 % dans les taux de trame mesurés par le test Open GL de Cinebench et 28 % plus rapide en copie de fichiers.

Le Macworld Lab a également comparé le nouveau MacBook Air 13 pouces avec le MacBook Pro Retina Core i5 Ivy Bridge actuel, cadencé à 2,6 GHz. Selon le Speedmark, le MacBook Pro s'est montré 14 % plus rapide. Dans les tests d'applications individuelles, le MacBook Pro Retina a été plus rapide dans tous les domaines - à l'exception des graphiques et des vitesses de stockage. Le nouveau MacBook Air 13 pouces intégrant la puce HD Graphics 5000 d'Intel s'est montré 31 % plus rapide dans le test Cinebench OpenGL et 14 % plus rapide dans Portal 2 que le MacBook Pro 13 pouces intégrant la puce Graphics 4000 d'Intel. Le nouveau MacBook Air s'est aussi montré 24 % plus rapide dans le test de copie de fichier.

lundi 16 décembre 2013

Avec Havana, OpenStack cible les clouds hybrides dans les entreprises

 L'architecture d'OpenStack repose sur un grand nombre de composants Open Source

L'architecture d'OpenStack repose sur un grand nombre de composants Open Source

La dernière version du code de la plateforme de cloud computing OpenStack Havana apporte de nombreuses fonctionnalités directement tournées vers le monde de l'entreprise. 

Si le projet OpenStack proposait à ses débuts des fonctionnalités de cloud compute et de stockage en ligne, il a par la suite évolué de manière à favoriser le réseautage virtuel, la gestion des identités et des accès, et depuis cette semaine une meilleure gestion et un meilleur déploiement des clouds. La sortie de Havana comporte en effet deux grandes nouveautés ainsi qu'un certain nombre de mises à jour plutôt intéressantes. L'un des outils phares porte le nom de code Heat. C'est une plateforme d'orchestration qui permet aux utilisateurs de provisionner plus facilement les clouds basés sur OpenStack. En utilisant la brique Heat, les développeurs d'applications peuvent alimenter des templates directement dans le programme, l'application déployant automatiquement les ressources nécessaires. Heat peut aussi lancer des applications, créer des machines virtuelles et automatiser l'ensemble du processus. Il fournit également des compatibilités avec la plateforme d'orchestration d'Amazon Web Service nommé CloudFormation. Une information qui signifie que les templates AWS seront fonctionnels dans des environnements OpenStack .

L'une des autres innovations s'appelle Ceilometer. Ce service collecte des données d'utilisation à travers les clouds OpenStack et s'intègre au service d'authentification et au système de gestion des identités - nom de code Keystone - pour fournir des données précises sur les comportements des utilisateurs. La nature des ressources utilisées et le temps d'utilisation de celles-ci peuvent ainsi être enregistrées et permet aux fournisseurs de services une facturation automatique.

Neutron remplace Quantum et apporte son lot de nouveautés

À l'ordre du jour aussi, la stack de stockage objets Swift dispose dorénavant de configurations de sécurité, notamment le chiffrement de bout en bout de tous les drivers. Il ajoute en outre la possibilité de procéder à une migration de volumes entre différents fournisseurs de stockage utilisant la brique Swift. Cela permet aux utilisateurs de profiter des avantages et des performances des différentes plateformes de stockage en fonction de leurs coûts respectifs. La stack de réseau virtuel Quantum a également été renommée Neutron et supporte dorénavant les implémentations de réseaux virtuels Open vSwitch et NSX de VMware. Il fonctionne également avec les commutateurs supportant OpenFlow et pourra, selon Jonathan Bryce, directeur exécutif de l'OpenStack Foundation, se brancher sur de nombreux périphériques Cisco. Rappelons que Neutron créé des réseaux de manière standardisée, la liaison d'un dispositif de mise en réseau et l'ajout de fonctionnalités aux réseaux pouvant être gérés via une API. Les dernières fonctionnalités incluent d'ailleurs la possibilité de créer facilement des VPN et des firewalls.

OpenStack: de plus en plus tourné vers l'entreprise

Après les opérateurs et les fournisseurs de services cloud, OpenStack s'intéresse aux entreprises en ajoutant des composants spécifiquement développés pour séduire ces derniers. Les outils de gestion de cloud comme Heat et les outils de suivi comme Ceilometer sont des pièces importantes d'une plateforme cloud pour n'importe quel utilisateur, mais, il faut bien le dire, surtout pour les entreprises. Heat est ainsi censé fonctionner non seulement avec les clouds OpenStack mais peut également gérer les ressources d'AWS. « L'hétérogénéité du management reflète une réalité du monde de l'entreprise dans lequel ces dernières intègrent différentes stratégies » précise d'ailleurs Jonathan Bryce. Havana propose au final plus de 400 mises à jour et fait suite aux contributions de 910 personnes de 145 entreprises différentes; une augmentation de 60% par rapport à la dernière version.

 

vendredi 13 décembre 2013

Ubuntu Touch porté avec succès sur la tablette Sony Xperia Tablet Z

Le smartphone extra-large de HTC va apparemment proposer aux utilisateurs une fonctionnalité de lecture d’empreinte digitale, si l’on en croit une nouvelle série de photos qui envahit la toile. Les images ci-dessous montrent le HTC One Max (également connu sous le nom de T6), qui devrait être le prochain smartphone phare lancer plus tard cette année.

Fournies par le site taïwanais ePrice, qui a été une source constante de rumeurs à propos des dispositifs mobiles et plus particulièrement sur le dispositif de HTC, les images montrent un smartphone de marque HTC qui semble disposer d’un scanner d’empreintes digitales en dessous de la caméra logée sur la coque arrière.

Pour prouver le fait que le petit carré inséré sous la caméra est un lecteur d’empreintes digitales et non une sorte de vignette destinée à couvrir quelque chose, nous avons une image différente dans laquelle la coque arrière de l’appareil est enlevée, laissant apparaître ce qui ressemble à un scanner d’empreintes digitales.

En outre, il y a aussi une icône dans les paramètres affichant une image d’empreinte digitale, même si à l’heure actuelle il est difficile de dire quelles sont les caractéristiques réelles du scanner d’empreintes digitales, et à quoi ce dernier pourrait être utilisé, sauf pour le déverrouillage du smartphone. On peut noter au passage que l’écran du smartphone est flou dans la plupart des images, ce qui n’est pas des plus simples pour tenter de deviner quelque chose.

HTC One Max aux côtés du HTC One

Sur la coque arrière du HTC One Max on aperçoit un capteur d'empreintes digitales

Une fois la coque retirée cela semble être réellement le cas

Les paramètres laissent également supposer cette fonctionnalité

Le HTC One Max n’est pas le seul smartphone qui est répandu pour disposer d’un lecteur d’empreintes digitales. En effet, très récemment il a été question que l’iPhone 5S, le successeur de l’iPhone 5 qui pourrait être dévoilé le 10 septembre prochain, est également susceptible d’embarquée une telle fonctionnalité.

Reste à savoir comment HTC va tenter de mettre en avant cette nouvelle fonctionnalité, si celle-ci est réellement embarqué dans le One Max.

vendredi 6 décembre 2013

Computex 2013 LG dévoile ses Tab-Book H160 et Z160 et son ultrabook Z360

LG n’est pas venu les mains vides au salon Computex 2013 de Taïwan puisqu’il présente deux tablettes tactiles convertibles 11 pouces et un ultrabook 13 pouces, tous sous Windows 8.

Computex 2013 : LG dévoile ses Tab-Book H160 et Z160 et son ultrabook Z360

Outre ses nouveautés TV, LG avait profité du CES 2013 en début d’année pour dévoiler les prototypes de deux tablettes tactiles convertibles, les Z160 et H160, ainsi qu’un ultrabook 13 pouces, le Z360. Aujourd’hui, ces modèles sont présentés en version finalisée au salon Computex de Taïwan et le constructeur coréen précise qu’ils seront commercialisés à partir du mois de juillet.

Sous l’écran 11,6 pouces IPS défini en 1 366 x 768 pixels du Tab-Book H160, on trouve un processeur Intel Atom Z2760 double cœur cadencé à 1,8 GHz, 2 Go de mémoire vive et une capacité de stockage de 64 Go, le tout animé par la version 32 bits de Windows 8 et pour un poids de 1 kilo seulement. Un peu plus lourd (1,25 kilo) mais doté du même écran, le Tab-Book Z160 embarque de son côté un processeur Intel Core i5 3337U basse consommation à 1,8 GHz, 4 Go de mémoire vive, une capacité de stockage de 128 Go et l’édition 64 bits de Windows 8. L’autonomie annoncée du premier est de 12 heures et celle du second de 6 heures.

Le processeur Core i5 du Tab-Book Z160 se retrouve sous le capot de l’ultrabook Z360, doté d’un écran 13,3 pouces 1080p, malheureusement non tactile. Les caractéristiques techniques sont semblables avec 4 Go de mémoire vive, 128 Go de stockage et Windows 8 en version 64 bits. La connectique intègre deux prises USB 3.0, deux lecteurs de cartes microSD et une sortie HDMI. Le poids est limité à 1,15 kilo pour une autonomie comprise entre 6 et 7 heures.

Les prix et la disponibilité exacte de ces modèles, selon les pays, n’ont cependant pas été précisés. (EP)

dimanche 1 décembre 2013

Ebooks vers un modèle Allemand

Souvent comparée à la France en termes de développement du marché des ebooks, l’Allemagne accélère son adoption du format numérique, et réussit même à imposer son modèle.

L'Allemagne est souvent considérée comme un des jumeaux de la France en ce qui concerne l'arrivée du livre numérique : même attachement au papier, même culture du livre, même arrivée des grands acteurs, même questionnement juridique sur le prix, et TVA réduite... et pourtant, l'adaptation du marché Allemand face aux nouveaux défis du numérique semble plus rapide.

Les derniers chiffres de l’institut Gfk

L’institut Gfk annonce que le format numérique représenterait 2,4 % des ventes de livre. Si ce chiffre peut paraître faible, il faut le comparer au 0,5% d'il y a 3 ans, mais aussi au 0,6% actuel pour la France, selon les chiffres du même institut Gfk récemment. Un précédent rapport du même institut il y a un an prévoit même que ce chiffre pourrait passer à 17% à l'horizon 2015, alors qu'il ne prévoit que 3% pour la France à cette même époque. Amazon ou Kobo sont en effet arrivés il y a très peu de temps, et l'offre Tolino (un groupement national) est aussi elle-même très récente. Le marché commence donc à peine à se structurer, et les chiffres sont donc très encourageants.

Il faut dire que l'Allemagne n'est pas en reste pour ce qui est des initiatives : diverses liseuses ont été lancées, parfois sans succès, mais aussi des services comme les cartes cadeaux pour les ebooks, comme celles que l'on trouve aux Etats-Unis. Et la réflexion concernant le numérique est prise au sérieux, peut-être plus que chez nous, avec de véritables synergies qui s'organisent entre les différents métiers du livre.

L'exemple et les bons résultats de Tolino

Tolino, c'est ce groupement entre plusieurs acteurs Allemands du livre numérique et des Telecom pour proposer une alternative à Amazon et aux autres grandes entreprises qui essayent depuis les États-Unis (et leurs bases arrière du Luxembourg) de conquérir le reste du monde. Plutôt que de se laisser manger par les ogres américains, les Allemands ont réussi à s'entendre pour proposer une offre très cohérente, dont il faudrait s'inspirer.

 

Cette offre est constituée d'un catalogue, d'une liseuse et de services Cloud. Le catalogue est important, regroupe les ebooks de nombreux éditeurs allemands, et a beaucoup augmenté depuis son lancement il y a 100 jours, passant de 300.000 à 500.000. Car c'est en effet un communiqué de presse de Tolino pour fêter les 100 jours du lancement qui indique non seulement que le nombre de titres augmentait, mais aussi que les ventes des liseuses ont dépassé toutes les attentes, avec plus de 50.000 unités vendues.

Il faut dire qu'une liseuse six pouces à encre électronique E-Ink Pearl HD, avec éclairage intégré, connectée à l'offre des libraires allemands, un stockage de 25 Go dans le Cloud, le tout proposé dans un grand nombre de points de vente (1500) à 99 € a de quoi séduire. En face, personne ne peut proposer mieux, ni Amazon, ni Kobo, ni Bookeen, présent aussi en Allemagne. Malgré de petits soucis au départ, une mise à jour en mai a permis de régler quelques problèmes liés à l'éclairage intégré, et d'ajouter le surlignage aux fonctionnalités.

La réaction d'Amazon

L'importance stratégique du marché allemand se repère  entre autres aux réactions d'Amazon. Tout d'abord, les grandes campagnes d'affichage d'Amazon en Allemagne, commentées par le site Buchreport.de démontrent que l'acteur ne veut pas laisser passer ce marché.

Mais c'est surtout la baisse de prix du Kindle, exclusivement en Allemagne, qui démontre la nervosité d'Amazon. La liseuse d'entrée de gamme est ainsi désormais proposée à 69 €, alors qu'elle à à 79 € ailleurs en Europe. Amazon essaye donc de réagir sur un marché qui est en train peut-être de lui échapper. Kobo, très actif, mais peut-être surtout la liseuse Tolino et son rapport qualité / prix imbattable sont passés par là.

En effet, face à une offre nationale, véritable alternative structurée et très attractive, Amazon n’est plus aussi attractif. A offre “égale” (hors catalogue), et alors qu’Amazon souffre de plus en plus d’un problème d’image, qui ne privilégierait pas une offre nationale ? Dans le cas contraire, pourquoi baisser de 10 € le prix de de sa machine sur ce marché.

Un modèle à suivre ?

S'il est possible dans des pays similaire au nôtre de structurer une offre attractive, de résister aux géants, pourquoi ne pas le faire aussi ?

Il faut peut être sortir de notre posture consistant à seulement créer un maximum de barrières juridiques. Si protéger nos acteurs nationaux et notre culture est important, et si une partie de cette protection passe par l’interdiction de certaines pratiques commerciales, faisons-le. Mais n’oublions pas que la seule solution à long terme, c’est de battre ces acteurs sur leur terrain, en proposant une offre plus attractive. Certains projets sont en préparation en France aussi, et il faut espérer qu'ils seront au niveau du défi à relever. Le plus grand défi sera certainement de faire travailler tout le monde ensemble pour un jour pouvoir proposer quelque chose qui séduise vraiment les utilisateurs.

Nous avons tout pour cela : éditeurs, grand réseau de libraires pour distribuer contenus et matériel, et même un fabricant de liseuses Français.

vendredi 29 novembre 2013

Waze finalement racheté par Google

Google vient d’annoncer le rachat de l’application GPS communautaire Waze. Le montant de l’acquisition pourrait dépasser le milliard de dollars. Le géant de l’Internet devrait se servir de Waze pour booster son propre service de cartographie Maps.

Waze finalement racheté par Google

Alors que les pourparlers entre Facebook et l’application GPS communautaire Waze avaient échoué, Google qui attendait en embuscade a annoncé mardi qu’il a racheté la société israélienne. Une information que Waze a également confirmée sur son blog. Le tarif pourrait être le même que celui qui avait été évoqué pour le scénario de rachat par Facebook, soit 1 milliard de dollars ou plus. On parle même de 1,3 milliard de dollars (976 millions d’euros environ).

Google pourrait donc booster son application de cartographie Maps avec cet outil de GPS participatif. Waze compte 50 millions d’utilisateurs qui utilisent la géolocalisation de leur mobile pour réaliser de façon collaborative de l’information en temps réel sur le trafic routier. Le point sur lequel Facebook et Waze ne s’étaient pas entendu était le déménagement de la société d’Israël, afin qu’elle rejoigne les locaux de Facebook en Californie.

Il semble que sur le sujet Google s’est avéré plus souple, puisque l’équipe de développement de l’application de Waze restera au pays. (EP)

mercredi 27 novembre 2013

[Test] Bug Princess, pour la beauté de mes yeux

Bug Princess [Test] Bug Princess, pour la beauté de mes yeux

On connait maintenant parfaitement Cave, le spécialiste des « Bullet Hell Shooter » qui nous en mettent plein les mirettes. Peu importe le prix de ses jeux, la plupart du temps élevé, ça nous repousse assez rarement tellement les jeux sont particuliers. Excellents non ( même si parfois ça se rapproche ), ils ne le sont pas, spéciaux oui. C’est le genre de jeu sur lequel on peut passer des heures malgré des défauts importants, et encore une fois ce cheminement semble se répéter avec leur dernier titre, Bug Princess disponible Download on the App Store Badge FR 135x40 0824 [Test] Bug Princess, pour la beauté de mes yeux en version universelle pour 3.99€.

Bug Princess 1 [Test] Bug Princess, pour la beauté de mes yeuxDes insectes géants, tu oublies tout.

Commençons par le petit défaut que l’on va oublier au bout de deux secondes, les menus sont illisibles, comme dans la plupart des jeux de Cave d’ailleurs. L’Openfeint vous prend une bonne partie de l’écran alors qu’on en a carrément rien à faire, c’est inutile, gênant mais on va l’oublier dès qu’on commencera une partie. Comme on comprend rien au menu on choisit un mode de jeu au pif, une arme au pif puis on démarre le jeu, et là on en prend plein les yeux, on oublie tout, même l’Openfeint, c’est dire. On en oublie même presque qu’on comprend rien au menu et qu’on ne sait même pas ce que l’on a lancé comme mode de jeu, mais tant pis, on va dégommer des vers de terre, des coccinelles, des mille-pattes et tellement d’autres insectes.

Si on regarde d’un peu plus près, finalement, le menu n’est pas si compliqué qu’il en à l’air. On commence par choisir une des quatre difficultés disponibles puis on choisit un des trois modes de jeu possibles, au départ seulement un sera disponible, les autres viendront après. On finit par choisir une arme de départ puis c’est parti, on va se faire mal aux yeux pendant quelques dizaines de minutes, peut-être même quelques heures. Comme d’habitude sur l’écran on voit dix mille choses à la fois, et pourtant on arrive on ne sait trop comment à faire attention à à peu près tout.

Bug Princess 2 [Test] Bug Princess, pour la beauté de mes yeuxTu n’y vois rien mais tu adores ça.

L’écran est surchargé et ce n’est pas vraiment une surprise quand on connait Cave. Mais de toute manière on adore ça, c’est justement parce qu’il y a des monstres partout, des boules de feu, des diamants à récolter, l’écran est blindé, plus rien ne peut rentrer sous peine de voir votre écran exploser. Esquive à droite, à gauche, vite il faut avancer, à droite, un monstre ici il faut que je le tue ! Il ne se passe pas une seule seconde sans qu’on lâche notre insecte du doigt, ce serait bien trop dangereux. On va parfois balancer une petite bombe sur un monstre pour s’aider, il suffit d’appuyer sur le bouton en bas à gauche. Celui juste en dessous servira à rassembler sur un même point ou non toutes vos attaques.

Et ces attaques elles sont en générales nombreuses. Alors qu’on choisira au début de la partie une des trois disponibles, en récoltant des power-ups, on va rapidement être en possession de l’artillerie lourde, très lourde. Les petits monstres seront alors tués en plus grande quantité et plus rapidement, les insectes géants subiront plus de dégâts, logique quoi. La diversité des insectes est également assez bonne, pour ne pas dire excellente. Un insecte méconnaissable explose et pouf, plein de larves vous attaquent. En fait, on ne reconnaîtra que très peu d’insectes mais peu importe, il faut les dégommer un par un. Que ce soit les petits ou les boss, il faut les exploser.

Bug Princess 4 [Test] Bug Princess, pour la beauté de mes yeuxCinq stages ? Et pourquoi pas 6 ? On en veut plus !

Au final, les niveaux ( ici appelés stages ) sont assez peu nombreux et se comptent sur les doigts d’une seule main. La seule chose que l’on pourra ensuite faire varier sera le mode de jeu et la difficulté. Un énorme défaut me direz-vous, qui aurez envie d’acheter un jeu avec seulement 5 niveaux ? Et pourtant, on a beau recommencer le même niveaux dix fois, on ne le reconnaîtra presque jamais, pire encore, on ne s’en lassera que rarement. Ce qui importe, c’est que le jeu nous en mette plein les yeux, et à la demande. La bande son, excellente, ne fait que réconforter notre impression, on est à fond dedans.

Cave a semble-t-il fait un effort en nous proposant son premier jeu en version universelle, c’est pas beau ça ? Non, ce n’est pas beau du tout, c’est tout simplement horrible. Démarrez le jeu sur iPad et vous obtenez un bon gros zoom super moche, bref une version universelle qui n’a donc pas grand chose à faire ici, on se contentera d’apprécier le jeu sur iPhone, on peut pas tout avoir hein ! On notera également la présence de l’Openfeint, mais ça vous le savez déjà, et également le Game Center avec ici un paquet de classements en ligne et 34 réalisations.

On finit avec le trailer :

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Malgré un jeu horriblement moche sur iPad, il est magnifique sur iPhone. On a beau répéter le même niveau dix fois, on ne s’en lasse pas. L’écran est toujours aussi surchargé et l’environnement des insectes est parfait pour ce genre de jeu. On aurait peut-être aimé plus de niveaux mais tan pis, on va recommencer les cinq stages disponibles avec les trois modes de jeux et ce, des dizaines de fois.

dimanche 24 novembre 2013

Le nouveau Doctor Who n rsquo;est autre que Peter Capaldi

La nouvelle est enfin arrivée, le nouveau Doctor Who n’est autre que Peter Capaldi. Si certains regrettent que ce ne soit pas une femme et encore un blanc-bec, nous pouvons tout de même nous interroger sur sa petite personne.

La chaîne anglaise BBC a annoncé dimanche 4 août que l’acteur écossais de 55 ans prendrait les traits du 12 ème Doctor Who. En l’occurrence, son visage ne vous est peut-être pas inconnu, puisque vous avez pu le découvrir dans la série The Thick of It (Malcolm Tucker) et le film In the Loop.

Après 679 épisodes, c’est donc à son tour de tenter sa chance et de porter les couleurs de la cultissime série, après le retrait de Matt Smith. Pour l’anecdote, Capaldi a déjà joué dans Doctor Who, en 2008 sous les traits de Caecillius !

D’accord ? Pas d’accord ? Qu’en pensez-vous ?

Convaincu par le 12ème Doctor Who ?

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mercredi 20 novembre 2013

Le cryptage de l'iMessage d'Apple mis en cause par des chercheurs

Malgré les dires d'Apple, la confidentialité des iMessages n'est absolument pas garantie avec le système de clefs actuel. Crédit D.R.

Malgré les dires d'Apple, la confidentialité des iMessages n'est absolument pas garantie avec le système de clefs actuel. Crédit D.R.

Le célèbre développeur d'un jailbreak pour l'iPhone soutient qu'Apple pourrait facilement déchiffrer les iMessages.

Au mois de juin dernier, après les révélations sur les programmes de collecte de données de la NSA, Apple avait affirmé que son application iMessage, qui permet aux utilisateurs d'envoyer gratuitement des textos en WiFi, était protégée par un cryptage «de bout en bout», ce qui empêchait quiconque de prendre connaissance du contenu des dits messages. Mais des chercheurs présents à la conférence Hack-in-the-Box (HITB), qui s'est tenue du 14 au 17 octobre à Kuala Lumpur, ont montré qu'Apple pouvait, volontairement ou à la demande des autorités, intercepter les messages. L'affirmation selon laquelle iMessage est protégé par un cryptage incassable est « un pur mensonge », a déclaré Cyril Cattiaux lors de la conférence. Le chercheur, à l'origine d'un jailbreak pour iOS, travaille pour Quarkslab, une société basée à Paris et spécialisée dans les tests de pénétration et d'ingénierie inverse. Les chercheurs ont précisé qu'aucune information ne leur permettait de dire qu'Apple ou le gouvernement interceptaient actuellement les iMessages, mais simplement qu'il leur serait possible de le faire. Apple n'a pas répondu à une demande de commentaire sur le sujet, renvoyant simplement au communiqué publié au mois de juin dernier après les révélations sur le programme de collecte de données Prism de la NSA. Dans ce communiqué, Apple disait avoir entendu parler du programme Prism par la presse. « Nous ne permettons pas à un organisme gouvernemental d'avoir un accès direct à nos serveurs, et toute agence gouvernementale qui fait une demande de données d'un client doit avoir une ordonnance du tribunal », indique la déclaration. Mais, un document fourni par l'ancien consultant de la NSA, Edward Snowden, mentionne qu'Apple participe au programme Prism depuis octobre 2012.

Impossible de vérifier l'intégrité des messages

L'entreprise de Cupertino utilise une clef publique pour chiffrer les iMessages entre l'expéditeur et le destinataire. Or, selon les chercheurs, son système de gestion des clés publiques est opaque et ne permet pas de voir si les messages sont envoyés à un tiers comme la NSA. Quand quelqu'un envoie un iMessage, le terminal iOS va chercher sur le serveur de clés non public d'Apple la clef publique du destinataire pour créer le texte chiffré ou le message crypté. Quand le destinataire reçoit le iMessage, il le décrypte à l'aide de sa clé privée. Selon Cyril Cattiaux, le problème c'est « qu'Apple a un contrôle total sur ce répertoire de clés publiques ». La question de confiance se pose toujours avec les clés publiques. Quand il envoie un message crypté, l'expéditeur doit faire confiance au serveur, c'est-à-dire que la clé stockée sur le serveur de clés utilisé pour relayer le message appartient bien au destinataire.

Avec un serveur public, comme le serveur PGP Public Key Server du MIT, l'expéditeur peut avoir plus d'informations et voir par exemple si une clé a changé. Dans ce cas, il peut décider de faire confiance ou non au cryptage, notamment s'il soupçonne une attaque de type « man-in-the-middle ». Selon les chercheurs, le serveur de clés d'Apple n'est pas public. « L'utilisateur ne peut pas voir si la clé publique qu'il utilise au moment du cryptage du message est vraiment la clé de son destinataire et non pas, par exemple, la clé publique de certains salariés d'Apple », a déclaré Cyril Cattiaux. Son collègue chercheur - il se fait appeler GG - ajoute que « Apple fournit la clé, mais personne ne peut vraiment savoir si c'est un substitut ou quelque chose de ce genre. C'est vraiment une question de confiance et un réel problème pour les utilisateurs ».

Apple n'est pas le pire sur ce sujet

Pour Paul Kocher, président et directeur scientifique de Cryptography Research, « en général, les gens ne peuvent pas évaluer ou contrôler les risques des services cloud puisque les données sont conservées dans des systèmes qui ne peuvent pas être vérifiés ». Dans la pratique, « iMessage est aussi sûr qu'Apple a choisi de le faire, mais il n'est pas juste de critiquer Apple aussi sévèrement, alors que d'autres services ne sont pas mieux (voire pires) », a-t-il ajouté par e-mail à notre confrère Jérémie Kirk d'IDG NS. « La cryptographie d'iMessage est sûre en elle-même, mais il est clair qu'Apple contrôle la distribution des clés publiques », a écrit dans un courriel Matthew D. Green, professeur assistant au département des sciences informatiques à l'Université Johns Hopkins. « Apple a mis en avant auprès de ses clients le fait que les messages étaient cryptés de « bout en bout » et qu'ils ne pouvaient pas lire les messages », a écrit l'enseignant chercheur. « Techniquement, c'est tout à fait vrai, mais en même temps, ils savent très bien qu'ils pourraient détourner facilement le système s'ils le voulaient. En ce sens, ils ne disent pas toute la vérité ».

Cyril Cattiaux affirme aussi qu'il n'y a aucun moyen de détecter des attaques de type «man-in-the-middle» sur un terminal iOS, car le système mobile d'Apple ne stocke pas les clés publiques qu'il utilise pour iMessage. Il est donc impossible de voir si une clé a soudainement changé et, finalement, si le iMessage a été dérouté. L'expert en cryptographie Moxie Marlinspike, qui n'a pas participé à cette recherche, a évoqué un autre scénario d'attaque possible. Un compte iMessage peut être relié à plusieurs terminaux Apple. Le terminal utilisé pour envoyer un iMessage peut récupérer plusieurs clés publiques pour dispatcher le message vers un iPhone et un iPad par exemple. « L'interception par Apple devient encore plus facile, car ils n'ont pas techniquement besoin de mener une pure attaque de type « man in the middle » », a-t-il déclaré par courriel. « Ils peuvent tout simplement ajouter leur propre clé à la liste. L'expéditeur cryptera une copie supplémentaire directement pour Apple, en plus de celle envoyée normalement ».

« Une solution pour Apple serait de stocker les clés publiques localement, dans une base de données protégée, à l'intérieur d'iOS. Cela permettrait de comparer les clés » a suggéré Cyril Cattiaux. D'ailleurs, en plus de leur présentation, les chercheurs ont livré l'application « MITM Protect » pour les appareils jailbreakés, qui permet de faire cette comparaison entre les clés. « Il faut vraiment avoir confiance pour donner la gestion de ses clés à une entité tierce. Cela revient à lui livrer un texte en clair, non codé », a déclaré Moxie Marlinspike. Selon lui, « iMessage n'offre pas vraiment de cryptage de « bout-en-bout » au sens où le laisse entendre cette expression ».

dimanche 17 novembre 2013

Attention, il arrive sur Facebook !

Annoncé en janvier 2013, le moteur de recherche amélioré de Facebook va voir le jour aujourd’hui ! Graph Search est en cours de déploiement et quelques rappels s’imposent.

Fier de son milliard d’utilisateurs, et des 240 milliards de photos qu’il héberge, Facebook a décidé de développer un outil sensé renouer avec ses bases, établir de nouvelles connexions. En somme, Graph Search est un moteur de recherches différent de celui offert par un Google. Concrètement, il sera axé sur l’association de phrases, Facebook donnait l’exemple suivant : au lieu de taper ‘hip-hop’, on pourra taper ‘mes amis de New York qui aiment Jay-Z’, Plus précis,  il offre la possibilité de trouver des personnes, des lieux et des photos en rapport.

Sur le papier, le Graph Search est une bonne idée. Certains de vos amis pourront savoir quelle marque vous recommandez, les endroits qui vous plaisent ou encore ce que vous avez visité. Pas de mal à cela dans l’absolu.

Facebook déclare,

‘Lancé en version bêta limitée en janvier dernier, Graph Search sera déployé dans les prochaines semaines à l’ensemble des utilisateurs de Facebook en langue anglaise US. Il s’agit d’une nouvelle façon de se connecter pour découvrir des personnes, des photos, des lieux ou encore des centres d’intérêts qui vous correspondent.’

Le moteur de recherches de Facebook permet de trouver des choses intéressantes au sujet de vous-même, votre passé, et tous vos amis d’une façon extrêmement simple. De la même façon, vous pourrez trouver des étrangers qui sont ouvertement racistes, sexistes et bien d’autres choses embarrassantes. Rien de ce qui n’était pas public avant la recherche ne le deviendra, mais il est capital de le paramétrer.

Paramétrer Facebook pour éviter les dérives du Graph Search ?

 

Pourquoi ? Entre tomber sur une info par inadvertance et creuser tous les liens de Facebook en un clic… il y a tout un monde. L‘idée est sympathique mais les dérives sont d’ores et déjà mises en exergue.

Mieux vaut anticiper, car le dernier joujou de Zuckerberg va arriver instamment sur votre Facebook.

PiXXart / Shutterstock.com

dimanche 10 novembre 2013

Gratuit 20 hits PC indémodables

The Elder Scrolls II : DaggerfallThe Elder Scrolls II : Daggerfall

Abandonnés ou offerts par leurs éditeurs, de nombreux jeux sont disponibles gratuitement. Il n’est donc pas obligatoire de sortir son portefeuille pour s’adonner à une tranche de vie vidéoludique. Certes, les titres concernés ne sont plus de première jeunesse, mais ils permettent de combler quelques lacunes dans sa culture jeux vidéo.

20 jeux cultes devenus gratuits

vendredi 8 novembre 2013

Flipboard se décline en version iPhone

Flipboard for iPhone Opening Flipboard se décline en version iPhone

Flipboard doit être l’application que j’utilise le plus sur mon iPad, d’ailleurs c’était l’app que j’avais choisie de vous présenter lors de mon intervention chez Les Ardoises. Mais contrairement à mon iPhone je n’ai pas tout le temps mon iPad sur moi, et je me suis fait plusieurs fois la réflexion qu’une version iPhone serait bien pratique, encore plus si elle était synchronisée avec la version iPad.

Il semblerait que les développeurs de cette fabuleuse application m’aient entendu (ben quoi faut bien rêver non ? Razz ), puisque Flipboard est désormais disponible en version iPhone Download on the App Store Badge FR 135x40 0824 Flipboard se décline en version iPhone , et il est toujours gratuit bien entendu.

Voici une vidéo de présentation :

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Bien plus qu’un simple portage le design de cette version a été revu et adapté pour garder une simplicité d’utilisation identique tout en prenant en compte les contraintes liées à la taille de l’écran de l’iPhone. Je n’ai pas encore testé sur la longueur mais ça semble convaincant même si j’étais un peu sceptique au départ. D’ailleurs cette nouvelle version semble victime de son succès car les serveurs étaient indisponibles pendant plusieurs heures hier.

Quoiqu’il en soit Flipboard reste un véritable coup de coeur pour moi, si vous n’aviez pas encore eu l’occasion de la tester faute d’avoir un iPad alors jetez-vous dessus.

 

jeudi 7 novembre 2013

Apple corrigera un bug avec l #039;écran verrouillé d #039;iOS 7

Apple a promis de régler un bug touchant l'écran verrouillé des iPhone sur iOS 7, protégés par un code. Dans une vidéo, un utilisateur réalise une petite manipulation par une double pression sur le bouton Home et obtient l'accès à la galerie photos, ainsi que les comptes Internet utilisés pour les partager. Un porte-parole d'Apple a reconnu l'existence de ce problème auprès d'AllThingsD et un correctif sera intégré dans une prochaine mise à jour.

Sur le même sujet :
- Un défaut de conception d'iOS 7 permet de désactiver Localiser mon iPhone

Hawaï va construire le plus grand télescope au monde

Le site de Mauna Kea, à Hawaï, qui accueille déjà certains des plus grands télescopes du monde, va en accueillir un nouveau dont la construction doit commencer en 2014. Sa particularité est qu’il devrait s’agir d’un télescope utilisant un miroir de trente mètres de diamètre, ce qui lui a valu le surnom de « thirty meter telescope ». Ce Télescope de Trente Mètres va ainsi être capable de scruter l’univers d’une manière jamais égalée, puisqu’il pourra aller jusqu’à 13 millions d’années-lumière.


Hawaï vient d’autoriser la construction de ce télescope, qui est déjà annoncé comme couvrant 9 fois plus de surface que ses homologues, et disposant d’une précision trois fois plus grande. La première pierre sera posée en avril 2014.

mardi 5 novembre 2013

Concours Novodio Et les gagnants sont #8230|

HAUNVO0036 mainv3 MW 2 [Concours Novodio] Et les gagnants sont...

Voici les résultats de notre concours Novodio terminé il y a quelques jours. Les heureux gagnants sont :

  • Louis
  • Honeylove

Bravo à eux, je les contacterai bientôt par mail pour l’envoi de leurs lots.

A bientôt pour d’autres concours (dés demain si tout va bien !).

lundi 4 novembre 2013

TechEd 2013 Microsoft prépare un logiciel système pour le cloud

Brad Anderson, vice-président corporate Windows Server et System Center chez Microsoft

Brad Anderson, vice-président corporate Windows Server et System Center chez Microsoft

Hier, lors de la première journée de TechEd qui se tient du 3 au 6 juin à la Nouvelle-Orléans, Microsoft a dévoilé des versions Windows Server 2012 R2, System Center 2012 R2, Visual Studio 2013 et SQL Server 2014 compatibles Azure.

Les mises à jour annoncées par Microsoft de certains outils d'infrastructures et de développement, y compris Windows Server, System Center, Visual Studio et SQL Server, vont permettre de travailler plus harmonieusement avec ses services Azure hébergés dans le cloud. « Il faut comprendre que tous tournent dans Azure. Les mises à jour apportent l'expérience, le code et le design d'Azure à nos produits sur site », a déclaré Brad Anderson, vice-président corporate Windows Server et System Center chez Microsoft. Au cours de la conférence Microsoft TechEd 2013 qui se tient cette semaine à la Nouvelle-Orléans, les versions finales de Windows Server 2012 R2, System Center 2012 R2, Visual Studio 2013 et SQL Server 2014 sont attendues ainsi qu'une mise à jour du service de gestion des ordinateurs et des périphériques Intune. Une preview de chaque produit sera proposée plus tard ce mois-ci, les versions commerciales devant être livrées d'ici la fin de l'année, à l'exception de SQL Server 2014 qui ne sera disponible qu'au début de l'année 2014.

Ces versions ont une caractéristique commune : elles fonctionnent toutes avec Azure, ou avec des services cloud équivalents à Azure chez les partenaires de Microsoft. Les entreprises vont pouvoir plus facilement déplacer leurs charges de travail entre leurs datacenters et ces services cloud. Quand elles utiliseront les dernières versions de ces produits, elles pourront sauvegarder leurs applications Windows Server ou leurs bases de données SQL Server internes dans Azure. Elles pourront aussi utiliser le service hébergé de Microsoft pour leurs opérations de basculement, « c'est-à-dire que le service cloud pourra prendre le relais de leurs opérations au cas où, pour une raison ou une autre, leurs serveurs primaires tombent en panne », comme l'a expliqué Brad Anderson dans une interview avant l'ouverture de la conférence. « Notre objectif était clairement d'inciter les entreprises à adopter le cloud hybride et de faire tomber les barrières pour permettre un prolongement de service transparent entre leurs datacenters et un prestataire de service, ou Azure », a déclaré le vice-président corporate. « Au lieu d'acheter des licences à d'autres fournisseurs, les entreprises peuvent maintenant utiliser SQL Server et Windows Server pour profiter de ces fonctionnalités, puisque ces produits sont couverts par les licences existantes ».

System Center encore plus lié à Azure


La mise à jour 2012 R2 de Windows Server permettra de copier les applications et les données de leurs serveurs sur Windows Azure, ou dans les implémentations Azure d'autres fournisseurs de service. Le système d'exploitation permettra également de répliquer facilement les machines virtuelles Hyper-V sur Azure. Windows Server 2012 R2 apporte aussi de nouvelles fonctions de hiérarchisation du stockage qui permettent la mise en place de différents niveaux de stockage et contribue également à faciliter les déploiements cloud. Cette fonction peut aider à optimiser l'usage des capacités de stockage, puisqu'elle permet de stocker les données les plus sensibles sur les périphériques de stockage les plus rapides, et de parquer les données les moins consultées sur des disques moins coûteux.

L'éditeur de Redmond a également annoncé que la prochaine mouture de son progiciel de gestion informatique System Center encore plus lié à Azure. Il permettra aux entreprises de déterminer des règles pour faire tourner aussi bien Windows Server que des machines virtuelles Hyper-V dans le cloud et sur site. Le logiciel permet de définir les politiques de sauvegarde et d'effectuer des opérations de basculement sur un grand nombre de serveurs. « SQL Server 2014 pourra également être relié à Azure », a déclaré le vice-président corporate. Et il sera possible de sauvegarder les bases de données SQL Server sur Azure. C'est la première fois aussi que SQL Server sera doté de capacités in-memory développées sous le nom de code Hekaton.

Et pour la première fois, cette version de System Center permet de gérer les terminaux sous Android et sous iOS d'Apple, a indiqué Brad Anderson. Les administrateurs auront accès à des paramètres pour configurer le VPN (réseaux privés virtuels), le login, la connexion sans fil et d'autres fonctionnalités requises par l'entreprise.

Des tests plus poussés dans Azure

Côté développement, Azure ajoute quelques nouvelles fonctions à la prochaine version de Visual Studio 2013. Par exemple, le logiciel permettra de charger une application dans Azure pour test. « Au fur et à mesure que l'application est construite, il est possible de la charger dans Azure et de lui appliquer une lourde charge de travail pour voir comment elle se comporte », a expliqué Brad Anderson. À part ces mises à jour logicielles, Microsoft doit également annoncer de nouveaux services et fonctionnalités pour son service hébergé Windows Azure. La firme de Redmond devrait montrer en avant première Windows Azure BizTalk Services, une version online de Bus de Services d'Entreprise (ESB) BizTalk. Le fournisseur a également dévoilé sa nouvelle facturation à la minute pour les machines virtuelles.

La conférence TechEd de Microsoft sert à sensibiliser les administrateurs et les professionnels de l'informatique sur le back-office et les logiciels d'entreprise de Microsoft. Lors de sa keynote, Brad Anderson devait révéler quelques statistiques sur l'adoption des produits Microsoft dans l'entreprise. On sait déjà que l'activité serveur et outils de Microsoft a rapporté 19 milliards de dollars, en augmentation de 10 % sur les quatre derniers trimestres. Ou encore que plus de 75 % des applications d'entreprise tournent aujourd'hui sur Windows Server. Au passage, le dirigeant a fait remarquer que les ventes d'hyperviseur Hyper-V augmentaient « trois fois plus vite que celles de l'hyperviseur de VMware ». Selon les données de Microsoft, la base utilisateurs de SQL Server augmente 1,7 fois plus vite que celle du produit phare d'Oracle. Toujours selon Microsoft, SQL Server est la base de données la plus largement utilisée dans le monde, et détient 47 % des parts de toutes les bases de données SQL. Enfin, les ventes de System Center sont aussi en hausse : « Elles ont augmenté de 35 % au dernier trimestre », a déclaré Brad Anderson.

vendredi 1 novembre 2013

[Preview] Burnout Crash, une circulation routière explosive

Burnout Crash [Preview] Burnout Crash, une circulation routière explosive

Electronic Arts l’avait annoncé il y a déjà quelques mois, Burnout Crash sera adapté pour nos écrans tactiles. Déjà disponible sur consoles, ce titre vous propose de gérer la circulation en provoquant des collisions pour un maximum de dégâts, et à la sauce Electronic Arts. En gros ça pète et ça explose de partout, mais vraiment de partout, il ne se passe pas une seconde sans une explosion, et ça c’est bon. Plusieurs routes ( 6 environnements et 18 carrefours ) seront disponibles et il faudra y aller comme un gros bourrin pour provoquer les collisions. Il faudra ainsi faire le plus de dégâts possibles sur les autres voitures mais aussi sur les bâtiments et tout ce qui vous entoure. La classe quoi.

Le jeu devrait être disponible très bientôt sur l’Appstore, on peut même espérer le voir débarquer le 12 avril prochain, soit ce jeudi. Nul doute que l’adaptation à nos écrans tactiles sera très bonne et on retrouvera bien évidement des power-ups explosifs pour un jeu tout sauf mou. On peut également espérer voir ce titre débarquer en version universelle puisqu’il semble qu’Electronic Arts est récemment opté pour ce détail (très) important sur ses derniers jeux. On a pour le moment droit à quelques images et même une bande-annonce qui en dit un peu plus le jeu…

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Burnout Crash 1 [Preview] Burnout Crash, une circulation routière explosiveBurnout Crash 2 [Preview] Burnout Crash, une circulation routière explosive

N’hésitez pas à cliquer sur les images pour les voir en taille réelle.

jeudi 31 octobre 2013

Les revenus des ebooks devant ceux du papier dès 2017

Une nouvelle étude rendue par PwC prévoit que les ebooks pourraient générer des revenus supérieurs à ceux des livres papiers aux Etats-Unis d’ici 2017, et que presque ¼ des livres seront alors vendus à l'échelle mondiale au format numérique...

 

Après la prédiction que les magazines numériques prendront l'avantage sur les versions papier d'ici 2020, c'est au tour des ebooks qui devraient selon les analystes de PwC passer devant les livres, mais cette fois-ci en termes de revenus, et à l'horizon 2017. Encore des projections, et donc encore des pincettes à prendre bien sûr, mais ces prévisions sont quand même intéressantes pour qui s’intéresse à l’évolution du marché du livre numérique.

Selon les analystes de PwC (pour PricewaterhouseCoopers), les ventes d’ebooks devraient donc rapporter plus que ceux du livre d’ici 4 ans outre-Atlantique. Pour arriver à ces conclusions, les analystes d’appuient sur de nombreuses sources parfois confidentielles, et basées aussi sur les achats des utilisateurs.

Que dit cette étude de PwC ?

Selon PWC, en 2017 aux Etats-Unis, les ventes d’ebooks devraient rapporter 8,2 milliards de dollars, alors qu’ils s’attendent à une contraction des ventes de presque moitié d’ici là pour le marché du livre papier, ce qui ferait alors passer les ventes de livres papier sous cette barre courant 2017, comme le montre le graphique ci-dessous.

Comparons avec les chiffres 2012 du même institut qui indique que les ventes d’ebooks auraient rapporté 3,348 milliards de dollars alors que dans le même temps, le livre papier aurait rapporté 11,871 milliards de dollars.

Autre tendance annoncée par ces analyses : la forte augmentation de la part du numérique dans le paysage du livre. PwC annonce ainsi que l'ebook représentera 38 % des ventes de livres d'ici 2017 aux Etats-Unis, contre 16 % aujourd'hui. A l’échelle mondiale, les ventes d’ebooks devraient représenter moins, mais tout de même 22% de toutes les ventes de livres.

Le problème bien sûr avec tous ces chiffres est qu’il s’agit de projections, et donc d’une boule de cristal qui même améliorée est souvent sujette aux erreurs. Le site Paid Content souligne ainsi la différence des analyses avec une autre étude récente (BookStats), en pointant les méthodologies différentes utilisées, puisque BookStats s’appuie sur les données de 2000 éditeurs.

Il faut donc rester prudent avec ces prévisions, mais la tendance est là. Et même si ce n’est pas pour 2017, il y a de grandes chances que ces courbes se croisent dans les années qui viennent.

lundi 14 octobre 2013

Mobile Life Tour par Novell, Kyocera et NetIQ

Le Mobile Life Tour, qui se tiendra dans 26 villes de 14 pays de la zone EMEA en septembre et en octobre, s’arrêtera à Paris le 15 octobre prochain. Cet évènement sera l’occasion pour Novell, Kyocera et NetIQ de présenter aux entreprises fran?aises un aper?u détaillé de leurs offres et stratégies pour adresser les problématiques de gestion de la mobilité des employés, avec un fort accent mis sur la sécurité.? Plusieurs représentants de Novell, Kyocera et NetIQ seront présents?pour l’occasion.

9h00 -9h30
Mobile Life Keynote? – Novell

9h30 – 10h
Your Wolrd is on the Move?: Increasing User Productivity – Novell

10h-10h30
Solution Showcase -Novell

10h30 – 11h
Intelligent Mobile Access – NetIQ

11h – 11h30
Break & Meet the Tour Partners

11h30 – 12h
Adding Mobility and Security to your Documents – Kyocera Document Solutions

12h – 12h15
Solutions for Enterprise Backup and Disaster Recovery in the Mobile Age – SEP

12h15 – 12h30
Mobile Access to Host-based Business Applications in Real Time – Attachmate

12h30 – 13h
Panel Discussion : opportunities and Challenges of the Mobile Age

13h – 14h
Mobile Life Lunch Food & Networking
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